samedi 29 juin 2024

Les Manics jour 4 de 4 - 24 juin 2024

Bonne St-Jean!

Réveil encore une fois avant le cadran un peu avant 7h. Fred et Marie travaillent à 8h30. Nous sortons la moto du camion, déjeunons de délicieux pains dorés faits avec du pain ménage que Fred à acheté à la Boulangerie au P'tit Four à Forestville. Ils partent travailler, je prends mon temps, je vais les saluer et pars vers 10h. J'ai chaud malgré que ce soit un peu frais (19°C), je décide de ne mettre mon manteau de pluie qu'une fois rendu à Caisse Populaire de Clermont (10-15 min).

Arrivé là, je passe tout droit, le bâtiment n'abrite plus une caisse. Tout de suite après, je vois la nouvelle caisse de l'autre côté de la 138. Malgré les prévisions (80% de possibilité de précipitation), pas une goutte de pluie, je décide de continuer sans le manteau de pluie. J'arrêterai probablement à Baie-St-Paul le mettre.

Toujours pas de pluie à Baie-St-Paul, c'est un peu frais sans la manteau mais je suis quand-même bien, on continue.

À la Porte de Charlevoix (où il y avait le restaurant le Montagnard, RIP), j'arrête finalement. Je me stationné un peu à l'écart, je n'ai pas à faire le plein (fait à La Malbaie en partant, selon Gugule et l'estimé de la Ibex, je devrais arriver avec 15 km restant). Pendant ma pause, plein de véhicules arrivent dont un pick-up avec une grosse remorque et il se stationne pas mal en plein milieu. Un camion de livraison arrive aussi et doit aller juste à côté d'où je suis. Je me ramasse un peu dans les jambes, principalement dû à l'autre avec sa roulotte d'au moins 30 pieds en plein milieu de la place. Je mets finalement le manteau de pluie et je repars.

Quelque gouttes de pluie à Beaupré et Québec mais rien qui ne justifierait le stock de pluie. La température fait en sorte que je suis content de l'avoir quand-même. La traversée de la ville de Québec se fait bien et j'arrête fait une pause à Île halte routière super moderne pas longtemps après avoir traversé le fleuve.

Rendu à Laurier-Station, la pluie commence finalement. Selon les prévisions météo, je devrais être sous la flotte depuis le début... Le stock de pluie et les bottes font un excellent travail, je suis au sec. Ce n'est pas la déluge mais ça tombe pas pire un peu avant Drummondville. Rendu là, la pluie arrête et la route est même rendue sèche un peu avant St-Hyacinthe.

Arrivée à la maison vers 13h30. Il me reste finalement pour un estimé de 60 km d'essence. Je peux donc faire près de 400 km avec un plein sans trop faire attention. Excellent! On défait les bagages, on se repose un peu et départ pour Montréal vers 19h. Travail à partir des bureaux de l'entreprise d'un couple d'amis (si un jour vous lisez ce texte: salut Alex! Salut Doum!) et tournage en fin de journée. Mais ce n'est pas de la moto donc rien à conter ici...

Les Manics jour 3 de 4 - 23 juin 2024

Doux réveil au son des pas des occupants de la chambre d'à côté sur le perron et les marches en métal. Quand-même pas si pire, il est un peu après 6h. On prend le temps de se lever, notre visite n'est qu'à 9h et nous sommes à quelques minutes de route.

Nous allons déjeuner au restaurant du motel. Mis à part la déco, ça fait vraiment penser à une café de shop. Omelette jambon fromage à 15$ et quelque servie en deux minutes. Excepté la vitesse de production, je fait facilement aussi bien chez moi. Mais bon. Ça fait la job et c'est pas mal le seul choix.

Nous devons quitter la chambre "vers 10-11h". Visite de 1h30 à 9h, nous aurons assez de temps pour revenir, prendre nos choses et que je mettes mes pantalons de moto. Départ pour la centrale en camion.

Nous arrivons avant l'ouverture. Il y a déjà un groupe de motards (surtout de Spyders et 2-3 Harley) composé de vétérans militaires. Les portes ouvrent, on mouse demande une pièce d'identité... Mon portefeuille est resté au motel. Heureusement que c'est à côté! Huit minutes plus tard, nous sommes de retour, nous réussissons l'inscription cette fois et nous faisons le tour des informations sur la centrale en attendant le début de la visite. Il y a énormément d'archives vidéo puisque, durant l'Expo 67, le chantier battait son plein. Hergé l'a visiter, un album de Bob Morane (Terreur à la Manicouagan) s'y déroule, un village (maintenant abonné) y a été créé pour loger les 4000 travailleurs et leur famille, il y avait deux réseaux téléphoniques (téléphones verts: appels locaux seulement, téléphones noirs: appels externes)... Plein de choses à voir et lire.

La visite débute comme l'autre : une présentation d'environ 30 min de notre sympatique guide, Flora. Une des premières choses qu'elle nous dit est que la visite dure deux heures... Oups, nous allons quitter la chambre en retard. Pas grand chose qu'on puisse y faire sauf laisser tomber la visite, le but principal du voyage.

La centrale (où l'électricité est produite) est moins impressionnante que celle de Jean-Lesage mais le barrage... Se tenir au pied de la plus grande voûte (170 m) est vraiment impressionnant. Tout comme s'arrête en autobus (tous les déplacements s'y font par ce moyen, le site est immense) sur le dessus du barrage et comparer la vue de la vallée et du réservoir juste de l'autre côté. Bref, une autre visite à faire au moins une fois et une autre guide fort sympathique (et moins propagandiste) qui nous impressionne aussi par ses connaissances et sa capacité à marcher de reculons.

Retour à la chambre un peu après 11h. En me dépêchant, je ferme la porte entre deux voyages, la poignée est verrouillée (j'ai seulement ouvert la porte, je n'ai pas pris le temps de la déverrouiller)... Je vais donc à la réception/caisse/comptoir d'information/place où jaser avec l'employé(e) qui travaille/etc. pour demander une deuxième clef. La fille m'en prête une avec le sourire, je crois qu'ils n'attendent pas tant que ça que nous quittions. 10 min plus tard, je ramène les deux clefs, je fait le plein (2,149$ le litre) et nous repartons.

La route est plus facile en étant plus reposé. Cependant, c'est beaucoup plus frais qu'hier, j'aurais dû mettre mon polar. C'est tout de même extrêmement intéressant comme parcours, même "pris" derrière un groupe de vétérans qui ne roulent bien en bas de la limite et des vitesses recommandées.

Arrivé à la Centrale Jean-Lesage, je m'empresse d'arrêter pour, enfin!, prendre une pause. Avant de repartir, je mets les vêtements de pluie. C'est plus chaud (ça ne s'est pas réchauffé) et ils annoncent des averses à Baie-Comeau et de la pluie à La Malbaie.

Un gros 20-25 min plus tard, je suis au point de rendez-vous à atteindre Fred. J'ai l'impression qu'il arrivera 20 min après mois comme hier. J'en profite pour manger un peu et, surtout, de m'étirer le dos, marcher, bref, prendre une bonne pause.

En l'attendant, je me dis que la 138 n'est pas la plus intéressante des route (cent fois mieux que la 20 mais...), il va pleuvoir (je veux tester mon stock de pluie mais je devrais en avoir l'occasion en masse demain) et c'est toujours plaisant de faire de la route dans le camion avec lui. Quand il arrive environ 20 min après moi (c'est beau la constance), nous remettons la moto dans le camion.

Après un dîner tardif à la Cantine chez Nat (place honnête malgré les champignons dans la sauce à spag (joyeux défi: différencier des morceaux de champignons des frites seulement à l'oeil, question de ne pas avoir à se mettre des premiers dans la bouche)), direction La Malbaie.

Nous décidons de prendre le traversier quitte à attendre 2-3 heures. A jaser dans le camion ça va passer assez vite et ça va prendre moins d'essence.

Arrivé à Tadoussac, aucune attente, nous embarquons directement, nous sommes au début de la troisième file. Soit nous sommes très chanceux et il n'y a vraiment pas beaucoup de monde où la grève est terminée. Le traversier part à peine 2-3 minutes après notre arrivée et nous en voyons un deuxième qui part de l'autre rive. Semblerait que la grève soit bel et bien terminée. Nous en aurons la confirmation peu après lors d'un appel avec un ami de Fred qui demeure aussi a La Malbaie.

Nous arrivons chez Fred et Marie un peu après 20h. Léger souper (soupe maison au poulet, délicieux!) et dodo, brûlés encore une fois. Je vais tout écrire à mon retour...

mercredi 26 juin 2024

Les Manics jour 2 de 4 - 22 juin 2024

Départ en camion à 5h. La 170 de St-Siméon à La Baie est superbe. Je dois la faire un jour en moto. Heureusement, la discussion avec Fred est encore mieux que d'être sur la moto (ce n'est pas peu dire). Arrêt au Mikes de La Baie un peu avant 7h. Il n'est pas encore ouvert, nous avons 10-15 minutes à attendre. Nous en profitons pour sortir la moto du camion. Nous repartons après un bon déjeuner mais sans ma casquette (ils l'ont trouvée, je vais passer la chercher sur le chemin du retour en août). La 172 de l'autre côté de la rivière est quand-même très bien il nous sommes presque seuls. Je suis en moto et suivi par un camion. Ça fait Paris-Dakar...

La 138 est plus intéressante de l'autre côté de la rivière Saguenay et le paysage est magnifique.

Nous arrivons à Baie-Comeau vers 12h15. Notre visite de la Manic-2 est à 13h30. Il nous reste environ 15-20 minute de route à faire. Dînons-nous en 30 minutes à la cantine Chez Nat (j'ai envoyé une photo de l'affiche à une amie qui vient de là (si un jour tu lis ce texte: salut Nat!)) ou partons-nous tout de suite pour revenir manger "en ville" après? Nous n'avons pas très faim et il n'y a probablement pas grand chose sur la 389 avant le Motel de l'Énergie. Donc dîner-souper après la visite.

Nous arrivons d'avance à la Centrale Jean-Lesage (elle ne s'appelle plus Manic-2) et c'est tant mieux, il y a un centre d'information très intéressant qui nous occupe avant le début de la visite. Notre guide, Noémie, est très sympathique (malgré qu'un peu propagandiste parfois) et a une impressionnante maîtrise du sujet, sans parler de sa capacité à marche de reculon tout en parlant. La centrale et le barrage sont vraiment quelque chose à voir. De plus, la visite comprend un bon mélange d'histoire et de science électrique. C'est vraiment impressionnant de voir un alternateur de plus de 300 tonnes tourner à deux tours par seconde. Ça peut paraître pas très vite mais l'extérieur passait devant nous à 240 km/h... Bref, une visite de 1h30 qui en vaut vraiment, mais vraiment, la peine.

De retour à Baie-Comeau, nous faisons le plein et décidons d'aller manger à la brochetterie Chez Gréco. Quelle agréable découverte. Un excellent restaurant grecque un peu chic mais pas trop cher. La nourriture est parfaite et le service impeccable. J'espère pouvoir y retourner.

Avant de repartir, Fred me dit de ne pas l'attendre, au pire on se rejoint au motel. C'est 2h30 de route, je lui dit qu'il va sûrement me rattraper quand je prendrai une pause vers le milieu. Nous partons. Je met le régulateur de vitesse, la route est bien. Je le désactive en arrivant à la Centrale Jean-Lesage (c'est plus long à écrire que Manic-2...), il y a une bonne courbe descendante juste avant. Je le réactive après pour une minute ou deux puis autre courbe à prendre moins vite. Réactivation. Trente secondes. Autre courbe moins vite. Une minute. Courbe. Bref, j'ai vite abandonné l'idée d'utiliser le régulateur.

Après une heure, je commence à regarder pour une place pour prendre une pause mais, à date, je n'ai vu aucune place pour s'arrêter de façon sécuritaire sans être dans la gravelle et/ou sable... Les courbes deviennent un peu intenses et je commence à être fatigué. Cependant, aucune place pour arrêter. Je vois le temps et la distance restants diminuer, je fini par pousser jusqu'au motel. Je suis content d'arriver!

Le Motel de l'Énergie... Un joyeux mélange de truck stop, motel cheap (mais propre) et restaurant de chantier. La chambre est correct, l'essence cher (2,149$ le litre) et il y a de la mouche noire à volonté. Malgré tout, je suis content d'être là. Je m'installe sommairement dans la chambre et j'attends l'arrivée de Fred. Après 15 minutes je commence à penser pas très sérieusement à ce que je ferais s'il n'arrivait pas. Ma valise (topcase) avec mes bagages sont dans son camion... Après 20 minutes je commence à y penser plus sérieusement et comme j'essaie de déterminer combien de temps attendre avant de considérer vraiment la chose, il arrive. Ouf!

Deux douches, un brin de jasette, un peu d'écriture de ma part et on se couche, nous sommes tout les deux brûlés. Je vais essayer d'écrire et publier le récit des trois jours demain mais je commence à avoir l'impression que ça va aller à mon retour, je n'ai même pas fini celui de la première journée...

lundi 24 juin 2024

Les Manics jour 1 de 4 - 21 juin 2024

Plan initial (fait le mois précédent): partir vers 8h, max 9. Longer la Yamaska du côté ouest jusqu'à la 132 et la suivre jusqu'à Québec.

Première révision (la semaine avant): plutôt que de suivre la rivière, prendre la 224 pour sauver un peu de temps. Longer la Yamaska c'est très bien mais déjà fait avec la progéniture.

Deuxième révision (la veille): Ayant été au bureau de Sherbrooke et ayant transporté un collègue (si un jour tu lis ce texte: salut Ludo!), celui-ci a laisser son téléphone dans mon auto. Donc pas de 224 et 132, ça sera 20 jusqu'à Drummondville pour débuter pour redonner le cellulaire.

Finalement: parti à 10h (c'est difficile d'être efficace le premier matin de congé). En route, appel de Fred (si un jour tu lis ce texte: salut!). Ha ah! Le Bluetooth dans le casque va servir! Je répond sans problème mais pas de son. Il raccroche et rappelle, même chose. Calvaire... J'avais fait un test en appelant quelqu'un (merci Anne!) et ça fonctionnait... Je vais l'appeler une fois arrêté.

Arrivé à Drummondville vers 10h30. Le collègue sort de la maison dès que j'éteins la moto... Il travaillait devant sa fenêtre ou quoi? Non, il ne travaillait pas encore, ça prend notre cellulaire pour se connecter au travail. Oups! Mais bon, il avait déjà trop d'heures faites, pas trop de mal au final.

J'appelle Fred et il me dit que les employés du traversier Tadoussac-Baie-Sainte-Catherine sont en grève, il y a une attente de 2-3h habituellement. Il propose donc de passer par Chicoutimi. On s'en reparle à mon arrivée.

Je me demande si je dis à Gugule de m'amener à Québec en évitant les autoroutes ou si j'essaie d'aller déjeuner/dîner avec un ami qui est rendu à Lévis (si un jour tu lis ce texte: salut Pat!). J'appelle l'ami en question et boîte vocale. Question réglée.

Environ 20 min après reparti, appel de Pat. Je le refuse et le rappelle et ça fonctionne malgré que le son soit assez moyen. Donc on dirait que c'est juste les appels sortant qui fonctionnent avec le Carpuride (appareil Android Auto sans fil, ça permet d'utiliser son téléphone comme GPS tout en le gardant dans une poche) et la qualité du son est vraiment moins bonne que lorsque le téléphone et le casque sont connectés directement. Mais bon, Pat est disponible mais au bureau, je réauthorise les autoroutes et direction vieux Québec.

Sur la 20, appel d'un autre ami (si un jour tu lis ce texte: salut Seb!). Le son est vraiment mais vraiment mauvais. Il réussi à comprendre que je suis en moto après que je l'ai crié, on se reparlera quand on pourra. Pas fameux à date le Bluetooth par le Carpuride...

Déjeuner-dîner fort agréable entre amis et bonne nourriture malgré le décor limite quétaine (mais les touristes doivent vraiment apprécié le design chalet années 70-80). Départ de Québec vers 14h.

Rien à déclarer avant Beaupré mais il y a jusqu'à 8 degré Celsius de différence entre le haut des caps et au niveau du fleuve. Vive les poignées chauffantes! Sinon il faudrait constamment enlever et remettre une pellure.

Pause dans le stationnement de l'église de Baie-St-Paul comme à l'habitude. Toujours agréable à l'ombre des grands arbres mais il y a du trafic dans ce coin là.

La 362 est toujours aussi magnifique et intéressante jusqu'à La Malbaie. Arrivée vers 16h30, juste avant la fermeture de la galerie, j'ai donc la chance de zyeuter le premier étage. Je suis reçu comme un roi avec des tournedos de poulet maison (les tournedos faits maison et non le poulet élevé sur place), carpaccio de betteraves et sangria. Et que dire de la conversation et du plaisir de les revoir... (si un jour tu lis ce texte: salut Marie! Et encore merci à vous deux!)

Le détour par Chicoutimi ajoute un 2h30 de route et nous devons être à la Centrale Jean-Lesage pour 13h30. Donc départ prévu pour 5h00 demain matin, arrêt pour déjeuner au Mikes de La Baie et dîner à quelque part à Baie-Comeau (il y a beaucoup de baies dans ce coin là (là)...). Étant donné mes capacités estimées à conduire à cette heure, on charge la moto dans le camion (ça loge un Sprinter) et je vais rouler une fois traversé la rivière Saguenay. Je commence à penser à ce texte mais je suis trop fatigué pour écrire et je dois me lever à une heure horrible. Je prévois publier deux jours demain.

dimanche 26 mai 2024

Motopro - 2024-05-24

Question de me familiariser avec la Ibex, j'ai refais le cours Motopro aujourd'hui. Malgré que je sois arrivé 1h30 en retard (je retournais chez moi, convaincu que c'était annulé ou déplacé) parce que Gugule Maps ne m'indiquait pas le bon endroit, ce fut une journée for productive. J'ai eu chaud, je suis claqué mais je suis plus à l'aise à basse vitesse avec la nouvelle monture donc objectif atteint. C'est la deuxième fois que je suis ce cours et il en vaut vraiment la peine.

dimanche 5 mai 2024

On essaie la Ibex pour de vrai - 2024-05-04

Premier changement d'huile fait jeudi passé, période de rodage terminée, je peux enfin tester ce qu'elle a dans le ventre!

...

Elle n'est pas supérieure à ma 599 sur tous les points. Je ne regrette pas ma décision, loin de là, mais son moteur n'a rien pour faire rougir celui de la vieille. Sur papier, les deux ont la même puissance (Ibex 94 HP et 96 (!) pour la 599), elle a 10 livres de torque de plus mais aussi 60 livres (avec liquides). Elle a plus de puissance à bas régime ce qui est pratique mais quand on veut s'amuser... Le pire est le son (rien de vitale, je sais mais...). Elle grogne comme un quatre-roues alors que la 599 chante. Le seul point en faveur de la Ibex, et il est de taille, est qu'elle consomme moins et a plus d'autonomie. On ne peut tout avoir et, pour l'usage que je vais en faire, c'est le principale mais je vais m'ennuyer du 4 en ligne de la 599.

Sinon, 250 km dans le coin dont une petite partie avec le Petit. J'ai testé mes nouveaux pantalons en mesh achetés pas cher sur Amazon et j'ai été agréablement surpris. Je m'attendais à être déçu mais ils font la job. Je suis maintenant équipé pour cet été.

samedi 27 avril 2024

Bref retour avec la Vieille pour un 179 km - 27 avril 2024

Ouin. Je savais que la Ibex était plus confortable que la 599 mais à ce point...

J'ai fait un 179 km (arrêt bouffe au Bistro Brandy Creek (bien si on est dans le coin mais vaudrait pas un détour à lui-seul) et retour par Sainte-Cécile-de-Milton) avec la Vieille pour la rouler un peu (je veux au moins brûler toute l'essence de l'année passée) et puisque la Ibex est à 994 km et que l'entretien de 1000 km est jeudi prochain.

Je comprend mieux pourquoi Oli disait que la 599 est comme une bicyclette. Elle est basse, légère et on a l'impression d'y avoir moins d'espace (genoux plus hauts et un peu penché vers l'avant donc plus proche du guidon).

La suspension est plus raide (elle aurait probablement besoin d'être ajustée mais tout de même...), la position de conduite moins relaxe, il n'y a pas de jauge à essence ni d'affichage de la position du levier vitesse ce qui ajoute de la charge mentale... Bref, très content d'avoir acheté la Ibex.

lundi 1 avril 2024

C'est parti avec la Ibex - 1er avril 2024

Dame Nature n'ayant pas été très favorable aux motards depuis le 26 mars (date de l'obtention de la CFMoto Ibex 800 Touring), aujourd'hui fut ma première sortie de plus de 100 km. Une douce température de 5 degrés Celsius qui descendit à 4 lorsque d'une légère pluie s'ajouta à la fête. J'ai tester, avec succès, les poignées et le siège chauffant.

120 km selon Gugule.