dimanche 10 août 2025

Radisson: 2025-08-09 Saint-Hyacinthe - Roberval

Le départ est prévu pour, idéalement, 9h00 mais probablement plus vers 10h00. Le couché fut relativement tôt et le réveil, sans cadran, vers 7h00. Bon départ. En plus, j'ai réussi à faire la majorité de mes bagages la veille. Mais, aillant ci et ça à faire, je fini par partir à 10h15. Pas si pire.
Première destination: le parc écologique Godefroy (charmant endroit à visiter, surtout avec des enfants) à Bécancour en passant par les terres et la 132. Rien d'extraordinaire mais toujours plaisant.
Après maximum une dizaine de minutes de repos, c'est de l'autoroute jusqu'au fameux crâne à Shawinigan. Il existe maintenant une photo de plus de ce lieu trop souvent photographié (immortalisé est trop poétique pour la chose).
Par la suite, la 155 vers La Tuque. Superbe route mais il y a autant de branleux que peu d'endroits pour dépasser. Mais bon.
Arrêt au parc des Chutes-de-la-Petite-Rivière-Bostonnais qui semble vraiment intéressant à visiter mais 1. il fait trop chaud pour marcher avec les bottes et pantalons de moto, 2. je ne veux pas traîner manteau et casque et 3. je ne veux pas arriver à Roberval trop tard.
Dernier arrêt prévu avant le motel à Roberval: un gîte ayant le même nom que celui de famille d'une amie (bonjour Isabelle!). Cependant, le chemin y menant est mal placé (dans une courbe et de l'autre côté de la route) et semble être en gravelle molle. Je décide de passer tout droit et d'arrêter au prochain endroit propice. Je n'ai plus de destination dans Google Map, je dois entrer celle du motel lors de la prochaine pause. Après presque 90 minutes de route (ce qui est trop), j'arrive à Chambord. Je me dis que j'arrêterai (de nouveau) au Relais du Bleuet (encore merci Marc-André pour la recommandation). Arrivé là, le stationnement est désert... Je continue vers Roberval. Après une bonne vingtaine de minutes, je réalise que, une fois de plus, je n'ai pas arrêté à temps et que je suis de nouveau dans un état où il m'est difficile d'arrêter. Je décide donc soudainement d'arrêter dans la cours d'un Lebeau pour au moins mettre le motel en destination, question de ne pas passer tout droit. Étrange, je droit rebrousser chemin et je suis à près d'une heure de la destination... Mais bon, Gugule connaît le chemin. Une fois presque revenu au Relais du Bleuet, je vois que la prochaine indication est de tourner sur la 155. Je réalise alors que j'ai entré par erreur l'endroit où j'ai décidé de ne pas arrêter. Cliss. Dans le stationnement de... hé oui! Le Relais du Bleuet, je rentre la bonne destination et je fais de nouveau demi-tour. Le motel est à 280 m du Lebeau, on le voit de là. Re-cliss.
Finalement, j'arrive vers 16h15. Je m'installe un peu et je graisse ma chaîne. Merde, j'ai oublié d'acheter une autre... canette? bombonne? de lubrifiant avant mon départ. À regarder après le souper... Je marche 30 min jusqu'au Camp du Draveur. Il fait très chaud, la bonne brise qu'il y avait au motel se fait rarement sentir. J'arrive en sueur et assoiffé. J'ai dû boire près d'un pichet d'eau. La gentille serveuse a vite décidé qu'il était plus simple de remplir mon verre à chaque occasion.
Je recommande chaleureusement la place. Ce n'est pas donné mais ça en vaut le prix. Délicieux et portions très généreuses.
Une fois revenu à ma chambre, je regarde où je pourrais acheter du lubrifiant à chaîne. La seule place que je trouve (ouverte un dimanche (on est samedi)) est le Walmart d'Alma. Un détour de presque 2 heures. On va espérer en avoir assez jusqu'à Amos ou Val-d'Or.
À 20h45, je suis complèment claqué. J'abandonne l'idée de finir ce texte (j'étais rendu juste après mon départ de Saint-Hyacinthe). J'écoute un peu de télévision (à peine plus longtemps que ça a pris pour trouver quelque chose de relativement intéressant (Sexe Illégal sont... particuliers). Dodo de bonne heure.

424 km

Aucun commentaire: